Chantier d’Iran. (Suite)

Il y a plus d’un an que j’avais raconté quelques péripéties que j’avais connues durant le chantier effectué en Iran, à Mashhad, pour être plus précis et en 1977… Il y était question de distance entre le lieu où nous résidions et notre lieu de travail… De la solution que nous avions trouvé pour ne plus avoir à parcourir tous ces kilomètres… et de l’obligation d’y renoncer à cause de la montagne aux cobras proche de notre bivouac… Nous nous étions donc résignés à refaire la route, matin et soir, de la ville où nous logions et le Mosduran, lieu de notre dépôt. Une bonne centaine de kilomètres. A partir de ce dépôt, encore trente, cette fois de piste. Commençait alors notre travail, sous un soleil qui déjà, malgré l’heure matinale, cognait dur… Mais tout cela n’était pas négatif et le sentiment de liberté qu’on ressentait nous aidait sûrement à supporter les inconvénients de nos laborieuses occupations. D’ailleurs, je n’en aborderais pas le côté technique, c’est sans intérêt pour quelqu’un qui n’a pas une connaissance professionnelle de ce travail. Quitte à me répéter, je l’aurai peut-être aimé sans les p’tits chefs. Ils étaient là, la plupart du temps inutiles… mais fallait faire avec… J’en reparlerai une autre fois. Continue reading “Chantier d’Iran. (Suite)”